Ouh la la ! Les débats ont été vifs depuis mon retrait de la vie blogeuse. Je pense que le moment est venu de me faire mon come-back. Et par la même occasion de présenter mes plus plates excuses à Palinca qui s'est senti offensé par mon "Palincaca" qui ne volait pas très haut, j'en conviens. Je précise tout de même que j'avais bien lu et que je reste convaincu que lorsqu'on écrit "être de gauche ce n'est pas être au PS", tout le monde traduira "être au PS ce n'est pas être de gauche" (ou bien c'est ma parano qui revient...). Allez topes en five Palinca !Sinon l'objet de mon post est le suivant. J'aimerais revenir sur une interrogation de julien qui se demandait si on pouvait être anti-Sarkozy à tout prix. En tant qu'ardent défenseur du vote utile, j'aimerais rappeler le prix à payer :
- Sarkozy au pouvoir
- Le Pen au deuxième tour…et banaliser sa présence à cette place, banaliser ses idées et crédibiliser son vote
- La gauche plus que jamais discréditée
Ce n'est pas de la politique fiction que je fais, ni du chantage intellectuel. On peut toujours débattre, critiquer, évoquer sa liberté de choix, de penser… mais à un moment donné il y a un vote et la conséquence de ce vote. A moins que l'on pense que Ségolène = Sarkozy. Qui en est absolument convaincu ?
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