Le ton employé par nos (nombreux) candidats socialistes pour commenter ( parfois par allusions souvent à mots couverts) la candidature de notre Royal(e) Ségolène est limite correct..Aucun ne parle ouvertement en nommant la candidate et/ou en commentant son programme(ou non programme)..Tout est dans la petite vacherie et le petit sourire narquois...tout est dans le non dit mais dit très fort...tout est dans la voix , la largeur d'épaule et l'hormone....On peut ne pas apprécier SR pour ce qu'elle représente politiquement mais qu'on reste sur ce terrain pour s'y opposer..La dignité y trouvera son compte.
S'boydad.
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petit article concernant f.bayrou, qui m'etonne de chaque jours de plus en plus..............-
RépondreSupprimerFrançois Bayrou est "dans l'opposition" en raison de sa décision de voter mardi la motion de censure déposée par les députés socialistes mais son attitude "n'est pas nouvelle", estime la porte-parole de l'UMP.
Valérie Pécresse a souligné que le président de l'UDF vote contre le gouvernement "à titre individuel" et que sa formation toujours très divisée "n'est pas dans l'opposition".
"François Bayrou vote contre, il est dans l'opposition. L'UDF ne vote pas globalement contre. Donc, l'UDF garde une ligne extrêmement fracturée", a-t-elle avancé, lors du point de presse hebdomadaire de l'UMP.
Valérie Pécresse a rappelé que le groupe centriste s'était déjà divisé à l'automne dernier pour le budget ou pour la loi de financement de la Sécurité sociale.
Concernant le vote de mardi, la porte-parole de l'UMP a assuré que le parti de Nicolas Sarkozy faisait "le choix de la sérénité" face à un Parti socialiste en pleine "cacophonie" et qui tente de resserrer les rangs grâce à l'affaire Clearstream.
"C'est un parti qui est inaudible et qui ne se ressoude que dans ce détournement de procédure qu'est une motion de censure politique sur une affaire judiciaire", a-t-elle dit. "Ce n'est pas aux partis politiques de s'ériger en juges".
"C'est la position inverse qu'a choisi l'UMP et Nicolas Sarkozy, qui est victime, dans l'affaire Clearstream, d'une manipulation", a-t-elle ajouté.
Pour Valérie Pécresse, l'UMP "fait le choix de la sérénité, de la responsabilité et de l'unité".
Pressé par certains de ses proches de quitter le gouvernement, le président de l'UMP et ministre de l'Intérieur a annoncé samedi qu'il poursuivrait son travail "au service de la sécurité des Français".
Je me dois de réagir, on parle de mes poulains.
RépondreSupprimerSur Ségo, c'est vrai, je trouve que le débat vire au mesquin chez les socialistes. On ose espérer (enfin...) que le grand rassemblement aura lieu autour d'une candidature unique.
Je me demande cependant si, à l'inverse, Ségo ne joue pas elle-même sur ce registre. Est-il encore possible de la critiquer ? Après tout, les candidats à la candidature sont en campagne et les escarmouches me paraissent tout à fait normales et souhaitables. Reste à trouver un équilibre précaire entre intérêt du parti, respect de l'autre et intérêt personnel. Je site pendant que j'y suis un grand article dans Le Monde daté d'aujourd'hui présentant Ségolène comme madame Internet, celle qui a "sû renouer le débat citoyen grâce à ce média"...
Sur Bayrou, je suis d'accord avec toi Vinz, il m'étonne de jour en jour. Je l'avais déjà trouvé pas trop mauvais au débat de France 2. Ses idées m'ont toujours paru intéressantes mais le personnage me semblait mou et surtout faux-cul. Il semble prendre de l'indépedance le Bayrou... à suivre. N'oublions pas que François Irma Mitterrand a prédi qu'il serait un jour président !
l'article du Monde sur Ségo "webcandidate"
RépondreSupprimerPour ceux qui seraient intéressés par le point de vue de Charasse c'est là
RépondreSupprimerJuien
Pour les Français, Sarkozy et Royal incarnent le plus la réforme
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PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal sont les deux personnalités politiques qui incarnent le plus la réforme aux yeux des Français, selon un sondage Ifop pour Acteurs publics en partenariat avec Metro et LCP.
Selon cette enquête, les deux candidats qui font la course en tête au sein de leurs camps respectifs dans la perspective de l'élection présidentielle de 2007 se détachent nettement.
Le président de l'UMP est cité par 76% des personnes interrogées et la députée socialiste par 65%, devant le Premier ministre Dominique de Villepin (55%) et Jean-Marie Le Pen (49%), président du Front national.
"L'inscription du président de l'UMP dans le camp de la réforme n'est pas l'apanage des sympathisants de droite (84% et même 93% parmi les proches de l'UMP partagent cette opinion) dans la mesure où une majorité des sympathisants de gauche (69% et 72% chez les sympathisants du PS) exprime une perception similaire", explique l'Ifop.
Devancée de 11 points par Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal obtient néanmoins un score majoritaire et surtout enregistre une nette progression par rapport à l'enquête de 2004 (+10 points). "A nouveau, cette perception s'avère majoritaire à gauche comme à droite", ajoute l'institut.
De manière peut-être inattendue, selon l'Ifop, les Français démontrent dans ce sondage leur attachement aux réformes en dépit des mouvements sociaux et du retrait du contrat première embauche (CPE) il y a quelques semaines.
Ainsi, 93% des personnes interrogées considèrent qu'il est urgent que des réformes soient entreprises aujourd'hui en France.
Invités à désigner le domaine nécessitant les changements les plus profonds, les personnes interrogées désignent à une majorité relative (41%) le droit du travail. Viennent ensuite l'Education nationale (25%) et la justice (22%).
Ce sondage a été réalisé les 11 et 12 mai auprès d'un échantillon de 956 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.